Félidés : quelques chiffres
 
LIONS : Il y a 50 ans, 450000 lions peuplaient l'Afrique. Aujourd'hui, on estime la population à 20000 lions, dont 3500 à 5000 mâles.
GUÉPARDS : Il en resterait seulement 12000.
LÉOPARDS : Ils seraient passés de 700000 à 50000 en l'espace de quelques décennies !
 
Et malgré ces chiffres, on continue de les chasser, les braconner, vendre les peaux et les os.
Afrique Horizons
Association n° W491004130
Cinéastes, photographes, auteurs et conférenciers, Beverly et Dereck Joubert vivent dans la brousse africaine. Ils sont les témoins privilégiés d'une nature qu'ils filment depuis près de 30 ans, avec comme sujet de prédilection, les félins.
 
Après tant d'années sur le terrain, ils ont décidé d'alerter l'opinion publique et les autorités afin que des actions soient mises en place pour sauver, s'il est encore temps, les prédateurs emblématiques de la savane : les lions, les guépards et les léopards.
Ils sont les initiateurs du programme Big Cats Initiative en partenariat avec le National Geographic.
 
Au-delà des magnifiques images du film "The last lions" tourné dans le Delta de l'Okavango au Botswana, et que chacun regardera avec passion et émotion, c'est de l'avenir des lions qu'il est question. Leur nombre ne cesse de chuter, au point de se demander s'il en restera dans seulement 10 ans. C'est aussi le cas pour les guépards et les léopards.
 
La vidéo que vous trouverez ci-dessous a été tournée lors d'une conférence donnée aux Etats-Unis en décembre 2010. Beverly et Dereck Joubert y évoquent leurs relations étroites avec certains animaux, expliquent les difficultés et les risques du métier, et abordent, pour terminer, la nécessité de sauver les grands félins des menaces humaines.
 
Pour regarder cette vidéo avec un sous-titrage en français, cliquez sur "View subtitles" (il se peut qu'il faille cliquer deux fois), puis sur "French" dans la liste déroulante.
"Les derniers lions" - "The last lions" de Beverly et Dereck Joubert
Le film "The last lions" est sorti le 18 février aux Etats-Unis.
88 minutes - National Geographic